Présentation de la semaine d’étude sur l'alimentation

Son parcours a comporté quatre étapes : les questions de l’équilibre alimentaire, de l’éducation au goût, de la laïcité et enfin de la sauvegarde de la planète. Des groupes de travail ont réfléchi à un positionnement, nourri d’une série d’expertises indispensables.
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Média secondaire

Le menu alléchant de cette semaine d’étude

L’alimentation a une place essentielle dans le monde contemporain. Il y a au moins deux manières dans la société occidentale de concevoir la façon de se nourrir : celle du monde anglo-saxon et celle du monde méditerranéen. S’agit-il de répondre sèchement à des besoins vitaux ou de soigner la convivialité ? Il est difficile de rester si manichéen, nécessaire d’apporter des nuances et d’étudier ce phénomène en profondeur. De la solitude du mangeur aux bienfaits (partage, rencontres) du collectif il y a divers degrés. La montée en puissance des régimes « sans », n’a de cesse de conduire à changer les habitudes, que ce soit dans ce qu’on mange et dans l’organisation des repas. Il est certain que personne ne peut rester à l’écart de cette réflexion et des modalités pratiques qui en découlent.

Demain continuerons-nous de manger ensemble ?

Il s’agit d’une semaine d’étude sur l’alimentation au cours de laquelle se sont succédées des interventions au service d’une réflexion du mouvement Ceméa.

La conception du fait de se nourrir est multiple

Manger est-ce convivial ou seulement satisfaire les besoins ? Aujourd’hui c’est devenu un casse-tête !

Pour ne pas perdre la convivialité

Pour éviter que l’ostracisme s’impose comme une règle, pourquoi ne pas penser les autres repas sur le modèle du petit déjeuner échelonné ?

Contribuer à un positionnement politique et pédagogique

Les militant·e·s des Ceméa ont travaillé à faire émerger des références (de l’approvisionnement à la question de l’aménagement en passant par la confection des repas), aidé·e·s en cela par des expert·e·s, proches des Ceméa.