Chevaux de course

Un coup sec réveille les chevaux, puis chaque vibration les fait avancer
Média secondaire

Dans du contreplaqué de 5 mm, découper une silhouette de cheval fringant, sans pattes. Si l'usage de la scie à découper n'est pas familier, tailler la silhouette dans un carton fort. Utiliser un gabarit.

Cemea

Donner du corps au cheval en lui ajoutant deux flancs pris dans du liteau ou du contreplaqué de 15 mm.

Coller la silhouette en sandwich entre les flancs. Enfoncer quelques pointes de part et d'autre pour faire office de presse.

Couper quatre longueurs de tourillon de 3 ou 4 mm de diamètre aux extrémités adoucies, Faire quatre avant-trous dans les flancs pour entrer en force les pattes. Décorer.

Une planche propre assez longue, munie de baguettes servant de butoir, forme la piste.

Placer les pistes (autant que de chevaux) sur une cale d'épaisseur judicieusement choisie. En frappant l'extrémité surélevée le cheval tressaute et avance à chaque coup. On joue à plusieurs, deux au moins, frappant à tour de rôle sa piste d'un nombre de coups déterminés à l'avance.

Régler la « force de frappe » pour faire avancer son cheval sans qu'il tombe. Le premier arrivé a gagné.


On dit que ces jeux ont connu une certaine vogue dans les fêtes patronales, les assemblées, les vogues du temps passé. Ils s'apparentent aux jeux de kermesse qui consistent à faire évoluer des petits avions de carton en équilibre sur un fil tendu que l'on pince.

Le livret pédagogique d'accompagnement des fiches

Lorsque l’envie s‘en fait sentir, l’adulte peut intervenir pour proposer la fabrication de jouets qui tiennent leur promesse de jeu en laissant aux enfants la possibilité de manifester leurs désirs et en les aidant à les satisfaire

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