Traîneau en carton

Glisser. Comme un tapis volant, sur les vagues du vent. Glisser
Média secondaire

Choisir un carton d'emballage solide, du type de ceux qui protègent les postes de télévision, les appareils ménagers, le petit mobilier.

Cemea

Rabattre à l'intérieur le fond et le dessus, mettre à plat l'ensemble.

Glisser à l'intérieur du pli de l'une des extrémités un bâton prélevé dans une haie, ou à défaut un manche à balai d'une longueur telle qu'il dépasse de 15 cm environ de part et d'autre du carton.

Coudre grossièrement au point de surjet le bâton dans le pli avec de la ficelle moyenne, après avoir pratiqué des trous au poinçon en arrière du bâton.

Nouer une solide bride, ficelle assez grosse ou tresse sur le bâton de part et d'autre du carton. Cette bride permettra, d'une part de traîner l'engin au sommet des pentes, d'autre part à se caler solidement pour la descente en opposant la poussée des pieds sur le bâton à la traction des mains.

L'engin est prêt pour la glisse sur de grandes pentes d'herbe rase ou sur le tapis d'aiguilles de la pinède.

On retrouve les sensations de la luge : épouser les ondulations du terrain, décoller sur les petits ressauts.

On peut, si le carton plié est long, introduire et fixer un autre bâton cale-pieds à quelques décimètres en arrière du premier. Le traîneau pourra alors accueillir un deuxième passager.

 


On dit que les courses de bobsleigh sont impressionnantes pour les coureurs et pour les spectateurs. Gagner le pôle Nord à pied en traînant son traîneau relève de l'exploit. On dit que les traîneaux en carton déclenchent souvent l'envie de construire des engins plus élaborés, à partir de vieux skis, de contreplaqué, de planches

 

Le livret pédagogique d'accompagnement des fiches

Lorsque l’envie s‘en fait sentir, l’adulte, peut intervenir pour proposer la fabrication de jouets qui tiennent leur promesse de jeu en laissant aux enfants la possibilité de manifester leurs désirs et en les aidant à les satisfaire

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