LA MÉDIATHÈQUE ÉDUC’ACTIVE DES CEMÉA

Enjeux des ACM

Accueils collectifs de mineurs aujourd'hui, centres de vacances et centres de loisirs hier, colonies de vacances et centres aérés avant-hier : au-delà des évolutions, quels sont les enjeux ? Activité, vivre-ensemble, participation aux décisions, départ, discriminations ...
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Média secondaire

Image par Tri Le de Pixabay

Étudier les évolutions, rester attentif au développement de ces structures collectives d'éducation est primordial1. Cela concerne, directement, indirectement, des millions de personnes, des millions de familles, et malheureusement, pas l’ensemble des enfants susceptibles d'y participer.

Mais au-delà des évolutions, il est important de se pencher sur les enjeux. Nous l'avons déjà dit et écrit, les ACM semblent ignorés de la part des pouvoirs publics, et des médias, sauf, malheureusement quand surgit un problème ou pire, un accident. Cette vision « négative » n'aide pas à la prise de conscience de ce que porte ce type d'organisation.

À la création des « colonies de vacances » à la fin du XIXe siècle le but était sanitaire, et social, au sens d'offrir à quelques enfants en difficulté bon air et nourriture saine, mais très rapidement les ambitions vont devenir éducatives. Il est question de pédagogie et de valeurs éducatives dans les colonies de vacances depuis  le début du XXe siècle. Il est question d'Éducation populaire. Une éducation qui porte en soi le partage des responsabilités, le soutien et l'entraide, la liberté alimentée par le savoir. Une éducation de l'égalité, du savoir vivre ensemble. Puis on parlera des colonies et des centres de vacances comme « œuvres complémentaires de l'école publique ». Ce changement d’appellation montre bien la prise de conscience de l'importance des temps de vacances et des temps de loisirs dans l'éducation des enfants. Décontextualisée, cette appellation « d’œuvres complémentaires de l'école publique » pourrait aujourd'hui être un poids. Les structures collectives de vacances et de loisirs ont gagné leur autonomie. Elles ne sont plus éducatives seulement en regard de l'école, elles le sont à part entière, dans leurs spécificités. Du moins, peut-on l'espérer. C'est à cette aune qu'il faut étudier les enjeux spécifiques. Ni en comparaison, ni en opposition. Parce qu'évidemment, de nombreuses valeurs qui sous-tendent l'école se retrouveront dans le cadre des structures de loisirs mais avec une dynamique spécifique, qu'il convient de connaître pour s'y appuyer.

L’activité !

La distinction de plus en plus importante entre accueils de mineurs et séjours de vacances diluent les réflexions. Parler d'une seule voix du loisir et des vacances masque tour à tour des pratiques très différenciées. S’il est primordial que la formation à l'encadrement des structures de loisirs reste homogène – dans le contexte actuel, un seul Bafa, un seul Bafd, et dans les formations à l'animation professionnelle, une unité de formation – il est tout autant primordial de rester attentif aux différences. Nous y veillerons dans la suite de notre propos.

Pour illustrer ce qui précède, en fonction du public visé ou des familles, ce qui est mis en avant pour expliquer les motivations sera très différent. Pour les accueils de mineurs, ce sont les activités qui semblent privilégiées. C'est sur les activités que les enfants, et plus sérieusement les familles, s'inscrivent. Pour ce qui est des séjours de vacances, ce serait apparemment la vie collective, le vivre ensemble, et bien sûr les activités.

Il faut régler leur compte aux « activités », pour pouvoir creuser plus avant. Pour nous, de façon certainement partiale (militants d'Éducation nouvelle, nous ne pouvons que faire référence à tous les pédagogues d'Éducation nouvelle, mais aussi à tous les résultats éclatants des recherches menées depuis plus d'un siècle), toute activité décidée en dehors des projets, besoins, envie des enfants n'en sont pas.

On pourrait parler d'activisme, d'occupationnel, d'agitation, mais pas d'activité. L'activité, en tant que telle, n'est pas un enjeu. Mais la façon d'y accéder, oui ! Dans ce sens, il n'est ni bonnes ni mauvaises activités, même si cela est vite dit. Il y a en revanche de bonnes et de mauvaises procédures ou organisations pédagogiques pour que les enfants et les jeunes y accèdent.

Nous disons cela depuis longtemps. Malheureusement, sous la pression économique, l'évolution de notre société marchande de consommation tend plutôt à faire consommer qu'apprendre à choisir2. Certes, choisir sa propre activité, selon ses envies, dans l'environnement où se situe la structure tient aussi de la capacité et du pouvoir de décision. Là nous touchons de véritables enjeux. Nous constatons bien, sur le terrain, l'avancée des activités dites de « consommation ». Ou pour dire mieux, l'arrivée en force des attitudes de consommation face à des offres, voire des paniers d'offres d'activités.

Ce qui est donc important, ce sont l'activité et l'action de la personne : son choix et son apprentissage de sa liberté de choix.

Pour lever toute ambiguïté sur les activités, les modernes, les anciennes, les « à la mode », les ringardes... On peut tout à fait être réellement en activité en partageant le plus moderne et contemporain des jeux vidéo sur la plus moderne des consoles, et innocemment consommer la construction d'une cabane, prévue au catalogue.

Le "vivre ensemble"

C'est bien pourquoi l'autre entrée pour définir l'importance du loisir et des vacances collectives est fondamentale, aujourd'hui plus qu'hier : le « vivre ensemble ». Dans notre langage commun, le concept du « vivre ensemble » a supplanté, et cela dépasse une simple querelle sémantique, celui de « vie collective », ou de vie en collectivité.

D'abord parce que, malheureusement, la notion de vie collective est reçue toute teintée de fantasmes collectivistes, de la toute-puissance du groupe sur l’individu, ensuite parce que le vivre ensemble croise aujourd'hui des slogans, des « postures » qui concernent toutes les couches de notre société.

L'école est en difficulté pour remplir sa mission du « étudier ensemble », de l'apprentissage d'un « vivre ensemble » qui semble restreint.

Dans la vie sociale et culturelle, le « vivre ensemble » n'est pas de fait. L'ambition sous-jacente de nombreuses œuvres, des démarches artistiques de toutes disciplines vise à la compréhension de l'autre, à son acceptation, qui permettra une vie sociale, sociétale, culturelle et riche. On le voit, il y a comme une inquiétude autour de cette notion. Même si nous ne sommes pas dupes du fait que cela puisse être un argument démagogique de campagne électorale.

De tous temps, les vacances et loisirs collectifs ont porté cet enjeu. Il en était même le fondement, le socle. C'était bien le but, après la guerre de 1939-1945, pour rebâtir une société de l’égalité, de brasser au maximum les couches sociales dans le lieu évident du « vivre ensemble » : les colonies de vacances.

Parce qu'il s'agissait d'évidence d'un vivre ensemble. Pas de parlotes, pas de concepts éthérés, mais un « dormir ensemble », « manger ensemble », vivre chaque temps du quotidien ensemble. Et un « décider ensemble » justement. Les activités venaient après, quand elles étaient devenues possibles du fait de cette vie quotidienne fondatrice de liens et de relations sociales.

Il n'est pas certain, en termes de besoins, que cela ait beaucoup évolué. Le « vivre ensemble » commence obligatoirement dans une vie quotidienne partagée.

Les structures de vacances, en tous cas, restent des lieux et des moments qui ont pour missions de valider puis de valoriser cette approche.

La vie quotidienne est un enjeu éducatif

Cela pourrait sembler plus difficile dans les accueils à la journée. Certes, la vie quotidienne est une forte coupure. Certes, les participants retournent chez eux le soir, se retrouvent dans un autre espace de vie quotidienne, et on sait bien que des conflits d’intérêts entre les deux formes de vie quotidienne peuvent surgir.

Il n’empêche ! D'abord, il reste impossible de nier la vie quotidienne d'un enfant qui retourne tous les soirs chez lui. Ensuite, il y a comme une obligation à l'intégrer, à en faire le socle de la vie dans la structure de loisir parce que les heures passées avec des copains, avec d'autres adultes sont génératrices de vie quotidienne, ou devraient l'être. Sinon, effectivement, le risque que les structures de loisirs se résument, ou se réduisent, à des supermarchés de l’activité est grand.

Et surtout à une activité infondée, puisque n'ayant pas pour base une construction commune issue d'une vie commune. Cette activité serait une activité extérieure aux jeunes et aux enfants. Pire peut-être, une activité d’adultes poursuivant par là cette espèce d'engluage de toute vie propre aux enfants et aux jeunes. Il y a là un premier enjeu des ACM. Le « vivre ensemble » et l'importance d'une vie quotidienne.

L'association aux décisions

Le second enjeu en découle. Il n'est pas nouveau, mais il est en danger pour de multiples raisons : c'est la capacité à décider de ses propres activités, c'est pouvoir prendre une part active dans la vie même de son séjour, et de sa préparation pour les plus âgés. Il s'agit là d'une idée force de l'Éducation nouvelle. L'enfant est partie prenante de sa propre activité. Il peut en être responsable, à la condition évidente qu'elle soit à sa portée, adaptée à son âge et à ses capacités.

Il n'est certainement pas question « d'enfants rois ». D'ailleurs le concept d'association des enfants et des jeunes aux décisions qui concernaient leurs vacances date d'avant-hier. On ne parlait pas encore « d'enfants rois », mais quand on évoque les colonies de vacances, y compris avant 1936, on parle souvent du conseil de la colonie, ou de la réunion de l'ensemble des colons, pour décider de la suite du séjour ou prendre des décisions communes et collectives. Peut-être parce que l'encadrement de l'époque était assuré par des militants d'Éducation populaire ou syndicaux, voire politique et que l'une des missions fixées aux colonies de vacances était l'apprentissage de la liberté, de comment la gagner. Et quand, dans une conversation entre éducateurs de tous bords, on fait état de ces pratiques, on se heurte à une hautaine incrédulité, mettant en doute le fait que les enfants pouvaient décider, ou glosant sur le dressage « pro-soviet » que cela semblait cacher. Dommage ! Dommage, parce que nous pouvons dire que nous n'allons pas vers le mieux ! Il y a urgence à perdre du temps pour que les participants des ACM prennent toute leur place dans les décisions qui les concernent. On ne peut pas tenir un discours contre la société de consommation ou contre une économie de marché inhumaine et reproduire les pires des pratiques dans les structures de vacances collectives. Les pratiques des ACM, les pratiques dans les ACM ne sont ni modélisantes ni modélisatrices. Il n’empêche. Les participants de ces structures méritent de pouvoir se confronter à la prise de décision collective, ils méritent de se confronter à l'exercice de leurs propres responsabilités.

Encore une fois, les principes qui soutiennent les ACM d'aujourd'hui viennent directement des principes qui ont fondé l’Éducation populaire. Et l'apprentissage de la prise de responsabilité en fait partie.

La pédagogie institutionnelle a tenté de glisser dans l'appareil d'État qu'est l’Éducation nationale des pratiques donnant aux enfants à la fois une autonomie de prise de décision et des moyens pour l'exercer. Au même moment, les conseils d'enfants fleurissaient dans les ACM. Sans faire de passerelles évidentes, les deux pratiques semblent avoir fondu en même temps. Pourtant, en termes d'enjeux, projetés vers une société future, c'est là le moyen, dans les meilleures conditions possibles, de s'exercer à des pratiques citoyennes. Et ces pratiques sont formatrices à égal niveau pour les jeunes, les enfants, que pour l'encadrement. Il y va d'ailleurs d'une vision, d'une perspective de la place de la jeunesse dans la société, hors les rodomontades habituelles. Organiser des réunions d’enfants dans le cadre du loisir, des temps de vacances met à distance des ambiguïtés possibles quant aux effets des décisions, et surtout les effets concrets. On comprendra bien qu'il sera plus facile de décider de l'organisation de ses vacances, et de les mettre en œuvre, que de décider de sa propre place dans la vie scolaire. C'est certainement dommage mais quelques principes de réalité nous ramènent au concret.

Le départ

Sans déclinaison hiérarchique dans le texte, un des autres enjeux majeurs des ACM est la notion de départ. Le droit aux vacances, même s'il n'est pas acté, s'il n'a pas les moyens de se réaliser pour tous, existe. Il faut aujourd'hui lui adjoindre, en tous cas pour les enfants, un droit au départ. Il s'agit encore là d'une idée présente depuis très longtemps dans les centres de vacances, les camps d'adolescents. Mais elle n'a jamais été aussi nécessaire qu'aujourd'hui. Il va devenir difficile, pour ne pas dire invivable, de ne pas s'ouvrir au monde. Le droit au départ, c'est le droit de se construire en allant se confronter à un ailleurs. Et la notion de distance n'entre pas en ligne de compte. Il devient nécessaire aux jeunes et aux enfants de partir.

De quitter un cocon, confortable ou non, qui étouffe. La « société adulte », on nous pardonnera ce barbarisme, projette de plus en plus ses propres angoisses sur les enfants et les jeunes. Ou pourrait presque dire sur l'enfance et la jeunesse, tant chaque individu se voit ramener à un état de concept. Les angoisses prévalent, se projettent, les représentations des « dangers » freinent toutes initiatives. Le départ permet non seulement de casser des fatalités, mais aussi d'aller, en se confrontant avec des milieux nouveaux, des environnements à découvrir et à comprendre, à pouvoir décrypter en retour son propre environnement et agir dessus.

Il s'agit presque plus de la découverte de soi-même dans la confrontation à un autre et à un ailleurs que de découverte dont le motif reste consommatoire.

C’est peut-être sous cet angle, mais en les pensant sous cet angle qu'il faut étudier et promouvoir les miniséjours, les minicamps.

La chasse au "hors sol"

C'est un réel moyen de départ. À quelques conditions, incontournables : qu'ils soient le projet des participants, qu'ils ne se déroulent pas dans des lieux dédiés, où viendraient s’empiler tous les miniséjours d'une région ou d'une ville au risque de voir s'exacerber des conflits de zones ou de quartiers, simplement transposés.

Que la vie quotidienne soit le socle de chaque séjour, qu'elle en soit le but même !

Que chaque séjour soit une aventure unique.

Les accueils de jeunes, d'enfants ont un avantage dont ils doivent se servir. Ils peuvent, et ils doivent, préparer l'intégralité du séjour avec les participants. Du lieu, du voyage, de l’organisation, de la préparation, jusque dans les détails. Il est même possible qu'un miniséjour soit un projet qui se prépare tout au long de l'année, installant de fait des projets à long terme dans le cadre de l’accueil de loisir.

Ce type de départ, pour être bénéfique, doit rester également un projet novateur, chaque fois novateur, pour l’équipe d'encadrement. Chercher des lieux, des éventails de lieux à proposer, explorer même, pour pouvoir aider ensuite les enfants dans leur projet. Le départ n'implique pas le séjour à l'étranger. Il ne le minore pas non plus, la connaissance d’autres pays, d'autres cultures restant pour le moins important. Il implique la rencontre d'un ailleurs, dont on veillera à ce qu'il soit authentique

C'est à ce moment qu'il faut parler de l'environnement. Il y a nécessité que chaque temps, chaque activité soient inscrits dans un environnement précis, repéré, qui servira de base à un réel apprentissage. La prise de conscience des enjeux environnementaux devrait être partie prenante de chaque projet pédagogique. Cela pourrait d'ailleurs commencer par une chasse impitoyable au « hors sol ». Ces vacances qui peuvent se dérouler n'importe où, transportées, transposées d'un lieu à un autre, uniquement tournées sur une dynamique nombrilistique et mortifère. Nous ne dénoncerons aucune pratique mais certaines qui se déroulent très loin en pays étrangers pourraient parfaitement être métropolitaines. Seul l'effet d'annonce a une quelconque valeur qui veut faire prendre le prestige de l’accès au lointain pour de l’éducatif en soi. Les enjeux qui suivent dépassent de fait les enjeux des ACM. Ils sont sociétaux et culturels (les autres aussi d'ailleurs), éventuellement plus directement politiques, en tous les cas, ils sont au cœur des débats d'aujourd'hui et de demain.

L'association des parents

Les parents, et c'est heureux, prennent de plus en plus la place qui leur est due dans l'éducation globale de leurs enfants. On s'éloigne petit à petit d'un clivage qui est resté longtemps néfaste : les spécialistes de l'éducation, ceux du loisirs, et ceux des apprentissages de la règle et des valeurs. Clivage caricatural et pourtant toujours prégnant ! Les parents ont leur place à prendre dans le choix et l'accompagnement de leurs enfants, dans leurs loisirs et leurs vacances. D'abord, en reprenant cette place de maître d’œuvre du départ en vacances. Il y a tout un travail à mener, ou à refaire, pour que les parents se ré-emparent du départ de leurs enfants, qu'ils retrouvent la confiance qui existait auparavant et qui a baissé, sans aucune raison objective. Il convient de les associer, jusque peut-être, dans la constitution des fameux catalogues. Ils ont le droit de connaître les enjeux qui président aux choix des organisateurs. Plus ils seront informés réellement, moins ils pèseront sur le déroulement direct des séjours.

La laïcité

On le sait, le vivre ensemble favorise la compréhension de la laïcité. Sujet sensible, pratiques sensibles. Il appartient à chaque organisateur, mais aussi à chaque équipe d'installer des pratiques laïques dans les séjours. Sans stigmatisation. Il leur appartient de faire comprendre que la laïcité n'est pas un débat interreligieux !

Que la laïcité est une façon de vivre une égalité, dans une société bâtie en commun. Là encore, le vivre ensemble des structures de vacances et de loisirs sont des lieux privilégiés. À condition, encore une fois, d'être attentives à tout ce qui les fondent et de ne pas fixer le petit bout de la lorgnette sur les activités ou autres références de rentabilité.

La mixité, la question du genre

la mise en œuvre d’une mixité en ACM n’existe plus de fait, si toutefois elle ne l’a jamais été. La question de la mixité, et celle du genre doivent être posées à chaque séjour. Jusque dans les détails, ou au travers des détails. Est-il si certain que telle ou telle activité ne porte pas en germe un sexisme trop habituel ? Est-il obligatoire que toutes les activités soient mixtes, par habitude ? Ne pas confondre une mixité d'obligation avec une mixité consentie. Là encore, les temps de loisirs sont des temps privilégiés. S'il n'appartient pas aux animateurs de conduire des « analyses de pratiques », on peut espérer qu'ils soient attentifs justement aux valeurs qu'ils ont à défendre et à privilégier. On le sait par expérience, les enfants exacerbent les conduites sexistes. Aux équipes de rester vigilantes. On le sait également, par la même expérience, il est des temps dans lesquels la mixité ne doit pas être « forcée ». Les enjeux sont importants pour le respect des personnes et le développement de leur socialité. De la même façon, il faudra veiller aux conduites violentes et agressives. On le voit, ce sont des enjeux forts. Les ACM n'étant pas « hors sols », ils ne peuvent ignorer ces questions.


Article paru dans la revue Vers l'Education Nouvelle n° 543 / juillet 2011

Notes

1. Articles et dossiers :  VEN 485, Vacances collectives d’enfants et d’adolescents en l’an 2000, juin 1998. VEN 489, Partir : le sens du départ, avril 1999 ; VEN 505, Des vacances et des loisirs éducatifs, juin 2002 ; VEN 510,  Pour les CVL de demain, juin 2003 ;

2. VEN hors série Éducation à la consommation. Avril 2010